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Antoine41
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 Posté le:
04 Fév 2008, 10:24 |
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Salut!
| Citation: |
Un incendie fait neuf morts dans l'ouest de l'Allemagne
04.02.08 | 09h17
BERLIN (Reuters) - Neuf personnes, dont cinq enfants, ont trouvé la mort dans l'incendie d'une habitation de Ludwigshafen, dans l'ouest de l'Allemagne, rapporte la police.
Vingt-quatre autres personnes ont été hospitalisées, dont deux dans un état critique, et il se peut que l'on découvre d'autres corps à l'intérieur de la maison, qui risque de s'effondrer, a indiqué un porte-parole de la police.
La cause de l'incendie reste à établir, a dit le porte-parole, ajoutant que 52 personnes - pour la plupart de nationalité turque - habitaient officiellement les lieux.
Le nombre des victimes aurait pu être encore plus élevé si un groupe de pompiers et des membres d'autres services de secours n'avaient pas été en train de fêter le carnaval à proximité, a noté le porte-parole.
Ils ont en particulier "réceptionné" des enfants que l'on a fait sauter de certains étages de l'habitation.
Hans-Edzard Busemann, version française Philippe Bas-Rabérin
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source ici
A+
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chtitaz
Fidèle
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Messages: 271
Localisation: France
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| Posté le:
04 Fév 2008, 11:03 |
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Purée !!!!!
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olivier1973
Passionné impliqué
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Localisation: Côtes d'Armor
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| Posté le:
06 Fév 2008, 10:11 |
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Pour compléter l'info donnée par mon pote Antoine, cet article de Romandie.com :
Incendie en Allemagne: un bébé lancé par la fenêtre attrapé au vol
BERLIN - Lors de l'incendie d'un immeuble en Allemagne dimanche qui a fait neuf morts dont cinq enfants, des parents désespérés ont lancé leur bébé par la fenêtre qu'un policier a rattrapé au vol.
La photo tragique a fait le tour des journaux: penchés à une fenêtre du troisième étage d'où sort une fumée noire, un homme et une femme regardent leur bébé tomber, figé dans le vide par le photographe.
Les bras du père sont encore écartés. C'est lui qui vient de propulser son enfant vers la seule issue possible. La cage d'escalier de bois de cet immeuble de Ludwigshafen (sud-ouest de l'Allemagne) occupé par des familles turques vient de s'effondrer sous les flammes.
Ce que ne montre pas la photo prise dimanche après-midi peu de temps après que le feu se fut déclaré vers 15H30 GMT (16H30 locales), c'est que des policiers et des pompiers munis de toiles de sauvetage tendent les bras en direction du petit garçon. L'un d'eux le rattrapera et il survivra.
D'autres des quelque 70 occupants de l'immeuble --les 24 habitants avaient de la visite à l'occasion du carnaval--, ont sauté de tous les étages pour sauver leur vie, aidés par plus de 500 personnes, des policiers et pompiers intervenus rapidement car déjà déployés pour encadrer le défilé du carnaval, mais aussi des civils.
"Des images d'horreurs qui resteront en mémoire", a dit la maire de la ville Eva Lohse qui était sur place. "Les scènes étaient si terribles que certains de nos hommes ne veulent plus partir en mission", a affirmé le président de la police Wolfgang Fromm.
Des équipes ont pénétré dans les appartements par des échelles pour chercher des survivants. Ils ont trouvé trois enfants, dont deux cachés derrière un canapé. Une photo montre l'un d'eux, la petite Melda de 3 ans, dans les bras d'un pompier qui la tire d'un halo de fumée sur un balcon.
"Elle a certainement survécu seulement parce qu'elle s'est réfugiée dans un coin du salon protégé de la fumée," a dit un pompier au journal Bild mardi. Mais la petite a été sévèrement intoxiquée et est en réanimation.
Certains n'ont pas survécu. Parmi eux, une femme enceinte et son enfant retrouvés morts au dernier étage, une autre femme décédée à l'hôpital et deux frères, Kamil, 3 ans, et Kenan, 2 ans.
Lundi vingt personnes étaient encore à l'hôpital dont trois été gravement blessés.
La tragédie a plongé Ludwigshafen dans le deuil, les organisations de carnaval annulant les festivités prévues.
La police criminelle allemande BKA enquête sur l'origine de l'incendie, et notamment sur le témoignage de deux petites filles dans la presse turque qui affirment avoir vu un homme parlant Allemand et portant du papier et un briquet dans l'entrée de l'immeuble le jour même.
La Turquie a demandé mardi aux autorités allemandes de lancer une enquête pour déterminer s'il s'agit d'un acte criminel et décidé d'y envoyer une mission de quatre agents de sécurité. |
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Seelk
Habitué
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Localisation: Sarthe
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| Posté le:
06 Fév 2008, 16:38 |
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c'est assez horrible |
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Green Lantern
Nouvelle recrue
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| Posté le:
06 Fév 2008, 22:09 |
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Photo plutot chocante  |
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romeo68
Passionné impliqué
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Localisation: Zillisheim 68720
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| Posté le:
08 Fév 2008, 00:04 |
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| Citation: | Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui vient en Allemagne pour une conférence internationale sur la sécurité débutant vendredi soir, était attendu jeudi à Ludwigshafen (sud-ouest du pays), où neuf Turcs dont cinq enfants ont péri dans un incendie.
Il devait visiter en milieu d'après-midi, en compagnie de la chargée de mission du gouvernement allemand pour les étrangers, Maria Böhmer, les ruines d'un immeuble ravagé par le feu dimanche, selon les services de Mme Böhmer.
L'enquête se poursuit mais les causes de la catastrophe, qui a fait 9 morts et 60 blessés, restaient inconnues jeudi.
Toutes les pistes sont envisagées, a indiqué un porte-parole du parquet compétent, à Frankenthal. Si l'immeuble qui menaçait encore de s'effondrer parvient à être sécurisé, les enquêteurs pourront recourir à des chiens policiers.
A Ludwigshafen, des pompiers ont été pris pour cibles par des Turcs. Certains pompiers ont demandé et reçu une protection policière.
Des critiques ont été émises en Allemagne à l'encontre de la presse turque, accusée d'avoir conclu hâtivement à un incendie à caractère xénophobe.
Des journaux de Turquie ont dressé des parallèles avec un incendie criminel qui avait coûté la mort à cinq Turcs en 1993 à Solingen (ouest de l'Allemagne), une affaire dont le souvenir reste vif, survenue quelques années après la réunification allemande à une époque où se multipliaient les agressions racistes.
Les médias turcs évoquaient jeudi le fait que des parents d'une famille touchée par l'incendie auraient reçu trois jours avant le drame un appel anonyme. Un homme parlant allemand aurait déclaré "Maintenant c'est votre tour, on va vous brûler", selon les médias trucs.
Le président de la communauté turque d'Allemagne, Kenan Kolat, a appelé les médias turcs à la mesure.
Il a toutefois jugé inévitables les parallèles avec Solingen ou Mölln, où des Turcs avaient là aussi péri dans un incendie criminel au début des années 90, étant donné le contexte en Allemagne et notamment "la campagne" aux relents xénophobes menée par Roland Koch (CDU) pour l'élection de Hesse du 27 janvier.
Une fédération de fonctionnaires et un syndicat policier (GdP) ont, eux, exprimé leur irritation après l'envoi par Ankara d'une équipe d'experts à Ludwigshafen et face à certains commentaires de politiques en Turquie ayant apparemment douté de la rapidité d'intervention des secours et de l'efficacité de l'enquête.
"Il n'y a pas la moindre raison de ne pas faire confiance à la police allemande", a déclaré jeudi sur une radio le président du syndicat GdP, Konrad Freiberg, en rappelant le statut "observateurs" des experts turcs envoyés.
Le président de la Fédération des fonctionnaires de la police criminelle, Klaus Jansen, a remarqué qu'il était "inhabituel" que "les Turcs envoient leurs enquêteurs". "Nous avons sur place une commission d'enquête spéciale avec 50 fonctionnaires qualifiés", a-t-il souligné.
Ali Ertan Toprak, secrétaire général de la communauté des Alévis d'Allemagne, dont étaient issues les neuf victimes, a accusé la Turquie d'"instrumentaliser" la tragédie. Il a invité Ankara à user de son "énergie" pour élucider d'abord "les milliers d'assassinats politiques" commis sur le sol turc, et notamment un incendie criminel ayant visé la Incendie meurtrier en Allemagne: Erdogan attendu, critiques contre la Turquie
e Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui vient en Allemagne pour une conférence internationale sur la sécurité débutant vendredi soir, était attendu jeudi à Ludwigshafen (sud-ouest du pays), où neuf Turcs dont cinq enfants ont péri dans un incendie.
Il devait visiter en milieu d'après-midi, en compagnie de la chargée de mission du gouvernement allemand pour les étrangers, Maria Böhmer, les ruines d'un immeuble ravagé par le feu dimanche, selon les services de Mme Böhmer.
L'enquête se poursuit mais les causes de la catastrophe, qui a fait 9 morts et 60 blessés, restaient inconnues jeudi.
Toutes les pistes sont envisagées, a indiqué un porte-parole du parquet compétent, à Frankenthal. Si l'immeuble qui menaçait encore de s'effondrer parvient à être sécurisé, les enquêteurs pourront recourir à des chiens policiers.
A Ludwigshafen, des pompiers ont été pris pour cibles par des Turcs. Certains pompiers ont demandé et reçu une protection policière.
Des critiques ont été émises en Allemagne à l'encontre de la presse turque, accusée d'avoir conclu hâtivement à un incendie à caractère xénophobe.
Des journaux de Turquie ont dressé des parallèles avec un incendie criminel qui avait coûté la mort à cinq Turcs en 1993 à Solingen (ouest de l'Allemagne), une affaire dont le souvenir reste vif, survenue quelques années après la réunification allemande à une époque où se multipliaient les agressions racistes.
Les médias turcs évoquaient jeudi le fait que des parents d'une famille touchée par l'incendie auraient reçu trois jours avant le drame un appel anonyme. Un homme parlant allemand aurait déclaré "Maintenant c'est votre tour, on va vous brûler", selon les médias trucs.
Le président de la communauté turque d'Allemagne, Kenan Kolat, a appelé les médias turcs à la mesure.
Il a toutefois jugé inévitables les parallèles avec Solingen ou Mölln, où des Turcs avaient là aussi péri dans un incendie criminel au début des années 90, étant donné le contexte en Allemagne et notamment "la campagne" aux relents xénophobes menée par Roland Koch (CDU) pour l'élection de Hesse du 27 janvier.
Une fédération de fonctionnaires et un syndicat policier (GdP) ont, eux, exprimé leur irritation après l'envoi par Ankara d'une équipe d'experts à Ludwigshafen et face à certains commentaires de politiques en Turquie ayant apparemment douté de la rapidité d'intervention des secours et de l'efficacité de l'enquête.
"Il n'y a pas la moindre raison de ne pas faire confiance à la police allemande", a déclaré jeudi sur une radio le président du syndicat GdP, Konrad Freiberg, en rappelant le statut "observateurs" des experts turcs envoyés.
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Source : le monde.fr via le net |
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