Forum Pompier : le forum dédié au métier de sapeur-pompier

Vous ne pouvez pas participer car vous n'êtes pas inscrit : inscription gratuite !

Posté le: 07 Oct 2009, 21:09

la je doit dire chappeau l'artiste quand même... a tout hsard le fils de ce journaleux serait il un sapeur SPP?? smile_tirelalangue

Fidèle Sexe: Inscrit le: 01 Sep 2009 Messages: 244

oui c'est vrai que c'est toujours le meme journaliste qui écrit, on dirait qu'il a une dent contre quelqu'un

Posté le: 07 Oct 2009, 22:30

Ouai c'est clair que c'est pas mal envoye quand meme... mais ca serait bien qu'il vienne mettre le nez dans d'autre departement...

Posté le: 08 Oct 2009, 19:28

Il n'y va pas avec le dos de la cuillère car il peu taper sur un personnage public qui est le Colonel Cassar, qui ne se défendra pas.
J'aimerais bien voir si il parlerais pareil de Frêche ou autre...

Les journalistes du midi libre se prennent tous pour des puissants, sa gonfle passablement quand on sait que le journal est tellement pourris et bourré d'erreurs que les gens l'achètent pour le programme TV ou l'horoscope ^^

Passionné accro Inscrit le: 16 Mai 2009 Messages: 1116

jo49 a écrit:

Édition du dimanche 4 octobre 2009
Pas touche à l'auto du colonelLIRE AUSSI

INDISCRÉTION Pas touche à l'auto du colonel
Le colonel se serait mis en arrêt maladie

Humilié (mais honnêtement qui ne le serait pas ?) d'avoir été ainsi lâché par le Département et son ami Michel Gaudy, l'indéboulonnable président du Service départemental d'incendie et de secours (Sdis ; en fait, c'est le patron des pompiers), le colonel Charles Cassar, tout juste débarqué de son poste de directeur du Sdis, aurait, depuis, décidé d'entrer en résistance.
Comment ? En refusant de rendre les clés de son bureau et celles de son monospace de fonction, un Citroën C8. Et toc ! Pire : le colonel Cassar serait dans un tel état d'énervement qu'il se serait, depuis quelques jours, mis en arrêt maladie. Petite question à mille euros : sachant que de nombreux pompiers également en arrêt maladie sont, dans l'Hérault, injustement privés de leur régime indemnitaire (ce qui représente, en moyenne, quelque 40 % d'un salaire de sapeur), Charles Cassar bénéficiera-t-il, lui, de l'ensemble de ses émoluments ?
Autres interrogations puisqu'il s'agit, rappelons-le, d'argent public : les clés du bureau étant confinées dans la poche du colonel, son successeur, Christophe Risdorfer, tout juste arrivé du Cher (où il dirigeait le Sdis de ce département), a-t-il pu (enfin) entrer dans son nouveau poste de commandement ? Et puis, quid de ses déplacements sans véhicule de fonction ?
Et pendant ce temps-là, dans certaines caserne, les sapeurs enchaînent les missions comme des perles sur un fil, vivent et travaillent parfois dans des conditions limites. Mais bon, pour ces problèmes-là, prière de repasser plus tard ! L'urgence, c'est quand même de récupérer ce monospace, non ?

J.-F. CODOMIÉ

Source midi libre.com

Il n'y va pas de main morte mdr

Posté le: 19 Jan 2010, 20:57

Midi libre du 19/01/10

Citation:

Hérault Sdis : un rapport accablant

Le rapport définitif de la chambre régionale des comptes sur le Sdis (Service départemental d’incendie et de secours) que Midi Libre s’est procuré, balaie en 27 pages essentiellement la période 2004-2009. Nous en avons extirpé quatre points.

1. La gestion des effectifs.
Un des grands problèmes soulevés par ces magistrats chargés de contrôler l’utilisation des deniers publics. Ils ont noté des différentiels importants entre les postes budgétisés et les emplois effectivement créés et qui se sont creusés au fil des années. Jusqu’à 25 % en 2007 pour les sapeurs de base : 129 emplois étaient budgétisés et 52 à peine pourvus. « En général, 5 % de marge sont tolérés mais si l’on arrive à 20 %, ça fait 15 % de crédits payés par les communes et le Département qui ne
correspondent à rien. Soit on ne sait pas compter, soit c’est pour se faire un trésor de guerre… assez costaud », décrypte un connaisseur. La CRC balaie les arguments du Sdis sur ce levier d’emplois gardé pour pourvoir les évolutions de poste ou pour nommer plus rapidement des agents. « Cela ne justifie pas les écarts trop importants pour être raisonnablement admis au nom d’une nécessaire souplesse de gestion. »

Autre exemple, la chambre relève aussi que le poste stratégique de responsable des affaires administratives et financières (Raf) du Sdis est vacant depuis six mois au moment du contrôle… L’illustration d’un directeur de Sdis qui veut tout maîtriser et ne rien déléguer à ses cadres.

2. Règlement intérieur obsolète.
En fait, la chambre régionale des comptes fait le lien entre ces variations effectifs budgétaires/réels avec les « lacunes manifestes » relevées en matière d’élaboration des documents clés du Sdis, obsolètes ou inachevés. Que ce soit le très important Sdacr, ce schéma d’analyse et de couverture des risques à partir duquel les moyens nécessaires des casernes peut être évalué, le règlement intérieur (daté de 1995 !) ou encore le règlement opérationnel.

« Les documents fondamentaux n’ont pas fait l’objet d’un suivi attentif de mise à jour. » Sans compter que le ministère de l’Intérieur, dans des rapports en 2003 et 2008, avait fait le même constat, « sans qu’en pratique, rien de décisif n’aboutisse ».

3. Un personnel pas noté.
Les magistrats relèvent aussi une gestion du personnel calamiteuse qui est en grande partie à l’origine des grèves des pompiers en janvier 2009. Notamment parce qu’il n’y avait pas de critère de recrutement pour tous les postes, avec le risque d’arbitraire que cela comporte… Et des critères de mutation ou promotion « vagues ou absents ».

A cela s’ajoutait d’importants retard dans les notations (jusqu’à trois ans !), pourtant indispensable pour toute évolution de carrière. Sur ce dernier point, la réponse du Sdis (qui dit que « les notations ont été assurées pour celles et ceux qui en avaient réellement besoin ») a fait bondir la chambre régionale des comptes…

4. Une prime pour le directeur de 15 % du salaire.
Enfin, la chambre s’est battue contre la prime spéciale de 11 % du salaire brut octroyée au colonel Cassar (soit plus de 700 €) en la défendant bec et ongle. Le Sdis l’avait bien supprimé avant de la faire réapparaître, en 2001, sous une nouvelle appellation, « la prime de responsabilité » portée à 15 % du salaire ! La CCR estime qu’elle n’est pas valable, qu’il l’a perçue indûment pendant des années et rappelle que l’ancien chef des pompiers avait déjà une bonification indiciaire maximale…

Pour autant, alors qu’un autre rapport de la chambre est prévu sur les finances et les marchés, la nouvelle équipe en place entend se baser sur ses conclusions pour tout reconstruire. Le colonel Risdorfer, nouveau directeur du Sdis, a déjà montré l’exemple : il a renoncé à cette prime spéciale.

Cette commission qui protège nos impôts, on peut considérer que sur un période de 8 ou 10 ans elle est passée dans tous les SDIS ou c'est aléatoire et suivant des cas difficiles ??

Posté le: 20 Jan 2010, 08:39

Salut,

Bizzare, j'avais posté ce même article hier mais il semble soit que ça ne l'ai pas pris, soit qu'il ait été supprimé...

bref pour plus d'info, le rapport de la CRC.

Pour te répondre Brembo, la CRC est passé dans tous les SDIS, c'est périodique.

a+

Fidèle Sexe: Inscrit le: 01 Sep 2009 Messages: 244

on reçoit le nouveau colonel dans ma caserne dans le courant du mois de février et il est vrai qu'il est entrain d'instaurer un nouveau régime ! enfin il doit nous en parler plus en détail lors de sa venu