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bon bah j'essairai de répondre comme je peux à ses questions mais merci encore j'ai appri de nouvelles choses qui me serviront bient^t a mon avis
allé bonne soirée a plus

brembored a écrit:

zagamore a écrit:

Sachant qu'habituellement, dans le cas d'une victime aussi jeune, elle sera évacuée dans 99,9 % des cas,même si son état est jugé désespéré, plutôt que déclarée décédée sur les lieux

j'avais en tête (je sais plus d'où j'ai entendu ça...) que les enfants en bas âge sont systématiquement autopsiés?
Légende urbaine?

salut.

Systématique, et je crois obligatoire, pour les mort subites du nourrisson. mais à 3 ans, on est normalement en dehors de l'age... ceci dit je pense qu'en pratique , ça doit de toute façons se faire aussi pour ces ages là, sauf si la causes est certaine et sans ambiguïtés.

Systématique, et je crois obligatoire, pour les mort subites du nourrisson. mais à 3 ans, on est normalement en dehors de l'age... ceci dit je pense qu'en pratique , ça doit de toute façons se faire aussi pour ces ages là, sauf si la causes est certaine et sans ambiguïtés.

tu veux dire que si on connait ce qui a causé la crise on la laisse sur place ?

mama24 a écrit:

Systématique, et je crois obligatoire, pour les mort subites du nourrisson. mais à 3 ans, on est normalement en dehors de l'age... ceci dit je pense qu'en pratique , ça doit de toute façons se faire aussi pour ces ages là, sauf si la causes est certaine et sans ambiguïtés.

tu veux dire que si on connait ce qui a causé la crise on la laisse sur place ?

euh. y' a confusion : Brembored questionnait au sujet de l’autopsie éventuelle, c’est à cette remarque que je répondais .

pour le reste, habituellement,, on ne laisse quasi jamais un enfant en bas age décédé "sur le terrain". Ne serait ce que pour pouvoir organiser l’indispensable accompagnement des parents dans ces moments pas du tout sympathiques...

mais comment on fait pour "gérer" la famille c'est un gros choc ça doit être dur a gérer non ?

mama24 a écrit:

mais comment on fait pour "gérer" la famille c'est un gros choc ça doit être dur a gérer non ?

ben justement, on galère. même si on est un minimum sensibilisé pour, c'est plus que compliqué. . c’est justement pour ça qu’on préfère qu'ils soient épaulés par des vrais professionnels de la chose, et ne pas les laisser pas tout seuls avec leur deuil.

mais il y a des formations pour "aider" les familles genre psy ou autres ?

oui cela existe, mais pas beaucoup de sdis opte pour se genre de formations.
pour ma part j'ai obtenue par le biais d'une associations de sécurité civile l'Attestation aux Premier Secours Psychologique. mais autrement ils peuvent toujours demandé un accueil par la CUMP (Cellule d'Urgence Médico-Psychologique) qui est prévus pour sa

et cette formation un fois que tu l'as le cs le prend en compte ou fait comme si tu ne l'avais pas ? et cette cellule elle fait partie du SDIS du SAMU/SMUR ou c'est une cellule à part ?

Pour ma part la formation a était prise en compte par le cs mais pas par le sdis concernant la CUMP elle ne dépend pas forcement d'un sdis ou du SAMU mais peut être demandé par eux

d'accord mais j'ai enetendu que le smi etmeme desfois les pompiers avaient leur propre cellule psycholgique c'est vrai ou pas alors ?

Invité

mama24 a écrit:

d'accord mais j'ai enetendu que le smi etmeme desfois les pompiers avaient leur propre cellule psycholgique c'est vrai ou pas alors ?

Bonjour,
Oui, les pompiers peuvent faire appel à une cellule psychologique.

ça oui j'ai compris mais est-ce qu'il possède leur propre cellule a eux

Invité

J'ai trouvé ces quelques paragraphes sur le site suivont, je pense qu'ils pourront t'informer :

http://www.medbc.com/annals/review/vol_16/num_1/text/vol16n1p24.asp

Moyens: Le personnel du service de santé formé à ces techniques - médecins, psychiatres, infirmiers - en sachant que la plupart des psychiatres de ville ne sont pas formés à ces techniques ponctuelles et brèves reposant sur un unique contact, centrées sur un événement unique, alors que le travail habituel du psychiatre est un travail de longue haleine, d’exploration de la personnalité, nécessitant des entretiens multiples. Ce personnel du service de santé peut être formé par l’université (études de psychologie, DIU de victimologie…) ou au sein du service par formation continue et compagnonnage.
Le personnel extérieur peut être recruté comme expert en application de l’arrêté du 6 mai 2000 - essentiellement des psychologues dont le recrutement n’est pas prévu comme membres du service de santé, mais aussi des psychiatres et plus particulièrement le psychiatre référent départemental de la cellule d’urgence médico-psychologique, pour former et encadrer le personnel du service de santé; en effet ils se retrouveront côté à côté lors des dispositifs de grande ampleur et des catastrophes.

sa dépend des SDIS certains oui a usage publique d'autre a usages interne d'autre non. sa dépend de ce qu'il existe d'autre dans le département