Forum Pompier : le forum dédié au métier de sapeur-pompier

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10 bars a l injecteur + la dénivelée ..... par contre quand tu parles de feu de toiture??? c est d une terrasse bitumée que tu parles??

Le développement de la structure extensible d'une échelle pivotante déplace son centre de gravité vers le haut et créé un risque de basculement. Et plus encore lorsque des sapeurs-pompiers évoluent sur celle-ci. Il est donc essentiel de stabiliser une échelle pivotante, lors de sa mise "en station", avant même toute mise en oeuvre. Cela s'effectue grâce à des vérins téléscopiques, ou poutres d'extension, qui vont se développer vers l'extérieur du châssis et appuyer au sol les semelles dont ils sont munis. La neutralisation de la suspension renforce leur action.

Les vérins stabilisateurs
Ces "pieds" stabilisateurs sont animés par des vérins hydrauliques. Leur extension est réglable séparement en fonction de l'espace disponible autour du véhicule. La surface au sol qu'ils délimitent, qui peut être asymétrique, est appelée surface de sustentation. Les performances de l'échelle et ses niveaux de sécurité d'utilisation sont dépendants de cette surface.

Différentes surfaces de sustentation en fonction des degrés de sorties des vérins de stabilisation
On distingue quatre types de stabilisation définis par rapport à la forme géométrique dessinée par les poutres : en I, en X, en A et en H.

Neutralisation de la suspension du châssis
L'objectif de la stabilisation est de faire reposer le maximum de poids sur une une base d'appui au sol la plus large. Cette base est définie par le polygone de sustentation et dépend de l'extension des poutres. Le maximum de poids sera obtenu en additionnant le poids du châssis supérieur, c'est à dire l'échelle, et celui de son châssis porteur.

Une fois les semelles en appui sur le sol, l'échelier va donc commander une poussée qui va soulever légèrement le chassis et transférer ainsi la masse totale du véhicule sur les quatre vérins. Mais il faut pour cela empêcher la suspension de compenser ce mouvement vertical. C'est pourquoi, avant cette poussée, la suspension est bloquée. Ce blocage est hydraulique et réalisé par un vérin qui va tendre une chaine ou un cable de maintien.

Quel rapport avec l'établissement sur EPA?

smile_dort

Passionné Inscrit le: 09 Mar 2008 Messages: 332

(1 tuyau 45 + LDV) :

- Déroule son tuyau au pied de l'échelle aérienne (sangle côté point d'attaque)
- Raccorde sa lance
- Donne son 1/2 raccord à l'équipier

- Positionne la LDV tuyau entre les jambes par-dessus l'épaule, lance dans le dos.
- Monte à l'échelle au plau indiqué par le C/A
- Se met en position de sécurité
- S'amarre au moyen de la longue de sécurité
- Fixe la lance ouverte à échelon à la hauteur de la poitrine à environ 20 cm du raccord au moyen du crochet d'amarre ou de la sangle de tuyau
- Fait sa réserve en écartant le tuyau d'environ 1mètre

- Commande "ouvrez"

- Attaque le feu dans l'axe du parc échelle

c'est la seule manouvre officielle GNR

Equipier BAT ( 2 tuyaux 45 )

- Déroule ses tuyaux ( sangles côté point d'attaque)
- Raccorde le 1/2 raccird du chef

- Fait filer l'établissement

- Amarre le tuyau au moyen d'un crochet d'amarre dix échelons sous la position du chef et un autre à mi distance avec le sol
- Ouvre la tubulure ou donne le demi raccord ou conducteur à l'ordre "Ouvrez" en indiquant "refoulement LDV45 sur échelle aérienne "ouvrez"
- Remonte l'établissement[/quote]

Un beau copier/coller qui ne sert à rien...

bonjour.
Mettre la lance dans le dos est une anerie qui se répète depuis des lustres et qui aujourd'hui ne devrait plus avoir cours.
Dans le dos il y a l'ARI.
Il faut passer le TX entre les jambes puis autour du cou la lance sur la poitrine.
faites l'essai et laisser tomber des règlements qui ont plus de 40 ans .
a plus yves l'indien

ça a l'air intéressant en effet

reste à voir si on ne s'attire pas les foudres de l'encadrement, mais ça semble logique en tout cas.

à moins qu'il y ai une raison forte à la pose de la lance dans le dos?

ou tout simplement que le réglement a été écrit y'a 40 ans, quand l'ARI était anecdotique? (et pour les mauviettes :mrgreen:

)

[quote="brembored"]ça a l'air intéressant en effet

reste à voir si on ne s'attire pas les foudres de l'encadrement, mais ça semble logique en tout cas.

à moins qu'il y ai une raison forte à la pose de la lance dans le dos?

ou tout simplement que le réglement a été écrit y'a 40 ans, quand l'ARI était anecdotique? (et pour les mauviettes :mrgreen:

)[/quote] pareil mis a part que l on mets la poignée de préhension sous l aisselle car en laissant la lance sur la poitrine elle a tendance a se prendre dans les echelons....chez nous, il y a plus de 10 ans que l on ne pose plus la lance dans le dos

Fidèle Sexe: Inscrit le: 04 Mai 2009 Messages: 203

salut!

elle devré etre dans la MGO si elle existé non?

steve26 a écrit:

salut!

elle devré etre dans la MGO si elle existé non?

Tu confonds pas avec le GNR ? smile_uuh

Fidèle Sexe: Inscrit le: 04 Mai 2009 Messages: 203

Pinponmomo a écrit:

steve26 a écrit:

salut!

elle devré etre dans la MGO si elle existé non?

Tu confonds pas avec le GNR ? smile_uuh

aussi oui lol merci de m'avoir repri smile_gene

Je pense pas que le fait que ce soit dans le GNR ou pas soit un gage de quoi que ce soit.

Comme dis précédement dans le post, les différents établissements dépendent de chaque type d'EPA (nacelle ou pas etc)

Donc on peut facilement imaginer qu'ils ne vont pas s'amuser a écrire une manoeuvre type pour chaque engin.

Cependant, il existe peut etre une manoeuvre type "adaptable" suivant les EPA dans la documentation des COD6 ?

Moi dans mon incendie A et B je n'ai jamais appris un tel établissement en tout cas

Fidèle Sexe: Inscrit le: 04 Mai 2009 Messages: 203

oui pareil pour moi mais evidament le probleme doit ce posé...
Nous ons a un BEA demain je pose la côle à l'OG pour le BEA et EPA je revient avec des infos promis ;)