Forum Pompier : le forum dédié au métier de sapeur-pompier

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Nico.coef a écrit:

France a écrit:

non en faite il existe mais svp ne venez pas chez moi a 6h du matin smile_tirelalangue

oh non, pas à6h, mais un peu plus tard, après le café, vers 9h/9h30 quoi Wink

bah dis donc l'heure a changé , il me semblait que l'heure de l'apéro c'était vers les 11h-11h30 Big_sourire

je me vois déjà devant le juge smile_uuh

Vétéran Sexe: Inscrit le: 18 Mar 2005 Messages: 8245

France a écrit:

je me vois déjà devant le juge smile_uuh

Tu veux me dire quel interet tu as a t'inscrire 3 fois sous 3 pseudos et a alimenter cette discution debile ?! SI tu veux, je te bannis de telle maniere que tu ne pourras plus jamais te reconnecter sur le forum depuis ton poste actuel... Ca va te faire bizarre.

De plus, des logiciels de ce genre il en existe des centaines de milliers, et en parler sur ce board c'est interdit. Donc merci de t'abstenir. Sinon effectivement tu vas te retrouver devant le juge...

Vétéran Sexe: Inscrit le: 18 Mar 2005 Messages: 8245

Edit: Tu m'as gonfle espece de taré, j'ai lu tes messages, tu es banni.

Bon vent.

Vétéran Sexe: Inscrit le: 01 Juil 2006 Messages: 6144

Une petite vidéo qui résume ce post dans la bonne humeur! Wink

Vétéran Sexe: Inscrit le: 18 Mar 2005 Messages: 8245

Yep j'ai vu ca sur direct 8 l'autre jour, affolant de verite...

Posté le: 08 Oct 2009, 08:39

Bonjour à tous,

Contrairement à ce qui a été écrit, il n'y a pas de frontière imperméable entre vie privée et vie professionnelle.

Un employeur, public ou privé, peut donc parfaitement, pour des considérations d'ordre privé, fonder sur celles-ci une sanction pouvant aller jusqu'à la révocation ou le licenciement.

Et ceci pas seulement en montrant le bout de son nez sur Facebook en uniforme. D'ailleurs, la BSPP y anime plusieurs groupes sans que cela ne pose de problème.

La difficulté provient du fait qu'une faute de la vie privée commis par un pompier et qui porte atteinte à son honneur ou à sa considération permet le prononcé d'une sanction.

On peut citer le cas d'une soirée trop arrosée où, un alcootest positif et une audience correctionnelle plus tard, la personne a été condamnée. Elle pourra parfaitement être l'objet d'un conseil de discipline.

J'ai également le souvenir d'un chauffeur de taxi qui avait volé une bétise dans un magasin et était reparti au volant de sa voiture (qui était gainée, il n'était dont pas en service). Il a fait l'objet d'un retrait définitif de sa carte professionnel et s'est donc retrouvé au chômage...

En résumé, Facebook ou pas, le comportement d'un pompier doit être irréprochachable dans tous les aspects de son existence. En 2009, l'accent est mis sur la déontologie, d'avantage qu'il n'y a 20 ans, ce qui explique que des comportements qui étaient tolérés, il y a des années, ne le sont plus du tout aujourd'hui.

Guillaume.

Posté le: 23 Nov 2009, 12:43

Se refaire une réputation blanche comme Net

Des sociétés se chargent d’effacer les traces gênantes sur la Toile moyennant finances.

Citation:

S’il n’est pas facile de rétablir une réputation entachée après qu’un vilain ragot a circulé sur votre compte, la tâche devient quasiment mission impossible sur la Toile. La photo compromettante sur Facebook, le méchant lien en tête des résultats lorsqu’on «googlise» votre nom sur le moteur de recherche risquent de ruiner longtemps votre «e-reputation» et donc votre réputation tout court. Sur le Net, l’image de l’internaute qui n’a plus rien de virtuel reste sur la Toile, parfois des années.

Pas étonnant dans ces conditions que l’on assiste à l’éclosion d’une nouvelle contre-activité, celle qui consiste à effacer les innombrables traces, compromettantes ou pas, que les internautes laissent sur le Net. Ces «nettoyeurs» virtuels peuvent être des logiciels et de plus en plus des sites proposent de rétablir le profil d’internautes en délicatesse.

Ces sites tels que ClaimID, TrustPlus ou Reputationhawk prolifèrent. Reputationdefender s’est même rapidement taillé une réputation de start-up prometteuse de la Silicon Valley après avoir été créé à Louisville (Kentucky), en 2006. Surnommé la google insurance, cette société très médiatisée emploie 50 personnes et avait déjà engrangé 3 millions d’euros de bénéfices, selon le magazine Forbes, fin 2007.

Le site qui s’est développé en exploitant un vide juridique en matière de violation et de diffamation de la vie privée sur Internet offre un large choix de solutions, toutes payantes. Pour 8,25 dollars par mois, l’abonnement standard, l’internaute a la possibilité d’effacer lui-même ses traces diffusées par des bases de données ou des réseaux sociaux sur lesquels il s’était inscrit, mais aussi celles liées à ses achats sur des sites. Deux autres formules sont proposées, dont l’énigmatique «Big Kahuna» à 49 dollars par mois. A ce prix-là, ce sont les salariés de Reputationdefender qui se chargent d’identifier et d’éliminer vingt-quatre heures sur vingt-quatre toutes les informations embarrassantes. Reputationdefender propose également aux parents d’effacer les traces laissées par leurs enfants.

A l’issue d’une étude détaillée du site qui n’hésite pas à se présenter comme un «véritable logiciel de relations publiques», on n’était pas loin de les croire. En guise d’ultime vérification, on a donc «googlé» le nom de son jeune patron accolé à celui de l’entreprise. Et là, surprise : le tout premier document de résultat est un blog qui explique pourquoi Michael Fertik «craint». «L’approche de Reputationdefender ne marche pas, écrit son auteur. La preuve, ils n’arrivent même pas à protéger leur propre réputation.» CQFD.

Paru dans Libération du 28 mars 2009

Posté le: 23 Nov 2009, 12:57

Citation:

Elle perd son assurance à cause de Facebook
lundi 23 nov. 2009

Au Canada, une femme, Nathalie Blanchard, en congé maladie depuis un an et demi pour cause de grave dépression aurait été privée de ses indemnisations à cause de Facebook. En effet, sa compagnie d'assurance Manulife aurait décidé de suspendre les allocations d'invalidité après avoir pris connaissance de photos de Nathalie Blanchard sur son profil Facebook. Sur ces photos, on aperçoit Nathalie Blanchard en vacances au bord de la mer, à son anniversaire ou à un spectacle... de chippendales !

Manulife a démenti se baser sur des photos de Facebook pour suspendre le versement d'allocations mais aurait cependant reconnu avoir recours au site de socialisation pour s'informer sur ses clients.

De son coté, Nathalie Blanchard estime n'avoir rien à cacher ou à se reprocher, précisant qu'elle n'avait pas à mettre des photos d'elle en pleurs sur Facebook pour justifier son arrêt maladie...