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syldeg59
Habitué

Inscrit le: 02 Mar 2008
Messages: 135
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Posté le:
07 Oct 2008, 03:22 |
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Le président de l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) Patrick Pelloux a dénoncé lundi "les accusations mensongères" de la direction de l'hôpital de Valence à l'égard d'un de ses médecins, révélatrices selon lui du "malaise relationnel dans les hôpitaux".
"L'Amuf dénonce avec force le comportement inadmissible de la direction de l'hôpital de Valence et la véritable cabale qui a été lancée contre notre collègue du Samu durant tout un week-end", au cours duquel ce médecin a été "arrêté et mis en garde à vue sur des témoignages et des interprétations erronées".
"Pourquoi l'hôpital a-t-il dénoncé notre collègue à la justice sans appréciation interne. Pourquoi ce silence qui a fait courir les rumeurs les plus stupides pendant 48h ? Qui a interdit aux médecins du Samu de Valence de s'exprimer, ce qui aurait pu calmer la calomnie ?", interroge le Dr Pelloux.
"A ce rythme-là, tous les urgentistes vont être arrêtés en fin de journée ! C'est inadmissible", poursuit le président de l'Amuf, pour qui "cette affaire témoigne une fois de plus du malaise relationnel et de stress dans les hôpitaux".
"Nous demandons que toute la chaîne de responsabilités soit mise à jour: c'est un dysfonctionnement grave de la hiérarchie de cet urgentiste", conclut le communiqué.
Né à Digne (Alpes-de-Haute-Provence) et de nationalité française, ce médecin urgentiste avait intégré le Samu de la Drôme "depuis quelques jours" après avoir fait ses études à Grenoble et avoir travaillé dans plusieurs hôpitaux de la région, avait encore ajouté le procureur.
source http://www.rtlinfo.be/news/article/178436/--Mort+dune+octog%C3%A9naire:+le+m%C3%A9decin+du+Samu+26+remis+en+libert%C3%A9
nb : le médecin a pu démontrer que ses actes avaient été mal interprétés. En effet, son geste, banal pour un urgentiste, consiste à relever le menton d’un patient pour vérifier s’il est en état de mort clinique ou non… |
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brembored
Référent ENGINS

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Inscrit le: 07 Juin 2005
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Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le:
07 Oct 2008, 08:39 |
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Je n'ose croire que ce soit du perso de la part de l'infirmière
Je ne me vois pas accuser un collègue d'homicide volontaire parce qu'on ne s'apprécie pas...
Suivi d'un bel étalage de tout ce que les carrièristes et journalistes savent faire, et on en arrive à un joli tapage pour rien...
Ecoeurant... |
_________________ Sauvons les CPI http://opti-secours.over-blog.fr/ |
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Nrs27
Référent SDIS-CS

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Posté le:
03 Avr 2009, 16:18 |
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Salut,
à tous, je remonte le sujet pour vous informer que suite à l'enquête qui à déterminée que les geste pratiqué étaient destiné à sauver la victime, mais mal interprétés,
le procureur a requis le non lieu
Le médecin est doc mis hors de cause
Source: la radio (mais je sais même plus laquelle) |
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engins-bspp
Vétéran

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Localisation: sur la planète terre ( et sur mars pendant les vacances)
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Posté le:
03 Avr 2009, 18:09 |
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encore heureux qu'il n'a pas eté condamné
du grand n'importe quoi cette histoire, du debut a la fin
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spv68
Passionné accro

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Localisation: dans le fpt
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Posté le:
03 Avr 2009, 20:39 |
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Nrs27 a écrit: |
Le médecin est doc ) |
Ben oui normal...
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syldeg59
Habitué

Inscrit le: 02 Mar 2008
Messages: 135
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Posté le:
04 Avr 2009, 01:42 |
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bonjour
Demande de non-lieu dans l'affaire du médecin du SAMU de la Drôme
VALENCE - Jean-Pierre Nahon, le procureur de la République de Valence, a annoncé jeudi soir à l'AFP qu'il avait demandé un non-lieu dans l'affaire du médecin urgentiste de la Drôme visé par une information d'homicide volontaire.
La décision définitive de non-lieu revient au juge d'instruction mais elle semble acquise, apprend-on de source proche du dossier. Le médecin, agé de 41 ans et travaillant pour le SAMU, avait été mis en garde à vue quelques jours aprés avoir vainement porté assistance à une octogénaire morte d'un malaise cardiaque en septembre 2008.
Un responsable de l'hôpital avait, quelques jours aprés, qualifié ses gestes de "bizarres" et estimé que les conditions de prise en charge de cette patiente avaient été "inappropriées". Une information pour homicide volontaire avait été ouverte. Le médecin avait été finalement placé sous le statut de témoin assisté. L'hôpital l'avait suspendu.
Son avocat, Me Philippe Chasteau, avait alors expliqué à l'AFP que "lorsque les appareils ont été retirés, la mâchoire de la victime a eu des mouvements réflexes, dits +gasp+, et que son client avait "fermé sa mâchoire par en-dessous".
Plusieurs médecins, dont le médecin traitant de la personne décédée, avaient apporté leur soutien à leur confrère. Patrick Peloux, le président de l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf) avait dénoncé des "accusations mensongères".
Le juge d'instruction avait sollicité une expertise dont les résultats avaient été favorables au médecin. Une contre-expertise, demandée par le parquet, avait été refusée par le juge d'instruction. La chambre de l'instruction avait confirmé cette décision.
(©AFP / 02 avril 2009 19h48) |
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