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dom49bspp
Vétéran
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 Posté le:
10 Nov 2008, 13:52 |
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Le bâtiment a brûlé très rapidement, malgré l'intervention d'une quarantaine de pompiers.
L'entreprise Rêva Piscines, à Saint-Georges-sur-Loire, a été entièrement détruite par le feu, la nuit dernière. L'alerte a été donnée vers 22h15. Le bâtiment, situé dans la zone artisanale des Fougères, à côté d'un hypermarché, a brûlé très rapidement. Malgré l'intervention d'une quarantaine de pompiers, qui ont réussi à maîtriser le feu au bout d'une heure, rien n'a pu être sauvé de l'entreprise qui emploie six salariés.
Plus d'informations demain dans Ouest-FranceOuest-France
Moyens hydrauliques 6LDV dont une échelle.
Engins sur place
FPTSR,CCGC,RMO,VTU,VLCG de st Georges sur Loire
FPTL Ingrandes
FPT Angers Académie 
CEEVP,CEAR, Equipe C, Angers chêne vert
EPSA ,?
VLCOS Angers |
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jo49
Fidèle
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Messages: 207
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| Posté le:
10 Nov 2008, 16:46 |
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Salut
Tu as dû oublier le FPT Chalonnes et l'EPSA venait également de Chalonnes.
Le COS départemental était sur place. Les deux berces et l'équipe C étaient seulement en préalerte et n'ont pas été engagés.
@+ |
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Tiennou
Passionné accro
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Messages: 1193
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| Posté le:
11 Nov 2008, 12:18 |
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...  pourquoi j'étais de VSAV... ?? |
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jonath
Nouvelle recrue
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Messages: 48
Localisation: Cholet ( 49 )
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| Posté le:
11 Nov 2008, 12:22 |
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Ca ces Ballots dans ces Cas la .. |
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dom49bspp
Vétéran
Sexe:
Inscrit le: 22 Oct 2006
Messages: 3643
Localisation: Angers (49)
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| Posté le:
11 Nov 2008, 14:07 |
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Le feu, vraisemblablement accidentel, s'est propagé très rapidement à l'intérieur du bâtiment de 600 m2 qui abritait du matériel en matériau composite, ainsi que des produits de traitement et des véhicules utilitaires.
Quelques documents stockés sur une clef USB : voilà tout ce qu'il reste de l'activité commerciale de Jean-Louis Boutin, dont l'entreprise Rêva Piscines est partie en fumée, dans la nuit de dimanche à lundi, à Saint-Georges-sur-Loire.
« Tout a cramé. Rien n'est récupérable », observe, dépité, le dirigeant qui n'a pas fermé l'oeil. « Il était 22 h 04 quand l'alarme a sonné sur mon portable, dit-il en consultant son téléphone. J'ai cru que c'était le vent, qui soufflait fort, qui avait fait bouger la grille d'entrée. »
Il ne s'est pas inquiété davantage, d'autant plus qu'il était passé en voiture à proximité de l'entreprise, trois quarts d'heure avant. « J'ai même failli m'y arrêter pour aller chercher une pièce... »
L'alerte est venue de la gendarmerie, voisine immédiate de l'entreprise spécialisée dans la vente et la pose de piscines privées. Mais il était trop tard. « Quand les premiers pompiers sont arrivés sur les lieux, le bâtiment était déjà embrasé », rapporte l'un des officiers qui a commandé l'intervention.
Le feu s'est propagé très rapidement. Probablement attisé par le vent, mais aussi et surtout alimenté par la nature du matériel entreposé dans le bâtiment de 600 m2. Jean-Louis Boutin cite « les spas en fibre de verre et autres matériaux composites, ainsi que des produits de traitement et des véhicules utilitaires ». Autant d'éléments propices à la combustion.
« On poursuit notre activité »
La quarantaine de pompiers a mis une heure pour venir à bout de l'incendie. Mais les derniers n'ont quitté les lieux que lundi matin, vers 9 h.
Une enquête de gendarmerie est en cours. Un court-circuit pourrait être à l'origine de l'incendie ; une hypothèse que pourraient confirmer les images de la caméra de surveillance de la station-service qui jouxte l'entreprise.
Jean-Louis Boutin a tout perdu dans le sinistre. « Les factures, les devis, les coordonnées des clients... » Mais il ne baisse pas les bras. Ses cinq salariés non plus. « Normalement, ils étaient en repos ce lundi. Ils sont venus filer un coup de main. »
Auparavant installé à Chalonnes-sur-Loire, Jean-Louis Boutin avait ouvert à Saint-Georges-sur-Loire en juin 2006, après avoir fait construire un bâtiment tout près de Super U. « L'activité marchait bien. »
Le chef d'entreprise entend bien assurer les poses qui étaient programmées cette semaine. « Les fournisseurs nous épaulent, et deux garages de Saint-Georges nous prêtent des véhicules. » De son côté, la mairie essaie de trouver un local temporaire à l'entreprise.
« On poursuit notre activité », insiste le dirigeant de Rêva Piscines, que le sinistre semble ne pas avoir abattu. « Attention, lui fait remarquer l'expert venu évaluer les dommages de l'entreprise. Vous êtes encore sous l'effet de l'événement, mais il faut vous attendre à un contrecoup dans deux ou trois jours. » Et Jean-Louis Boutin de répondre : « Je sais, c'est ce que m'ont dit aussi les pompiers. »
Vincent COQUEREAU.
Ouest-France |
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