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Lambersart : deux morts et un blessé dans un feu de maison, ce matin

| Métropole lilloise |

Deux personnes sont décédées dans l'incendie d'une maison de l'avenue du Colonel-Driant de Lambersart, ce matin.

Le feu a pris vers 5 h 30, pour une raison indéterminée, dans la bâtisse de deux étages. Le père de famille, un homme de 59 ans, a prévenu lui-même les secours, suivi par des voisins.

Arrivés sur place, les pompiers des casernes de Lomme, Littré et Villeneuve-d'Ascq repèrent rapidement un premier corps, dans l'habitation très embrasée, puis un autre, une fois le sinistre circonscrit, près de deux heures plus tard.

Les deux disparues sont la femme et la petite-fille du rescapé, qui a été transporté aux urgences blessé aux mains et en état de choc. Ses jours ne sont pas en danger.

Source La Voix du Nord

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Incendie à Lambersart : deux personnes tuées

Un violent incendie s'est déclenché très tôt ce matin dans une habitation de Lambersart: il a fait deux victimes. Une dame d'une soixantaine d'années ainsi que sa petite fille, âgée d'une vingtaine d'années, ont été tuées par les flammes.

Les pompiers ont reçu le premier appel du voisinage vers 5h50. Lorsqu'ils sont arrivés au 24 de l'avenue du Commandant Driant, à Lambersart, le deuxième étage du pavillon était déjà complètement embrasé.

Ils ont immédiatement pris en chargé un homme de 59 ans, le père de famille, qui est parvenu à s'échapper de la maison en flammes. Victimes de multiples brûlures, il a été évacué vers les urgences du CHRU.

Deux corps découverts dans le bâtiment en flammes

Dès qu'ils ont investi les lieux, les pompiers ont découvert un premier coprs calciné, celui d'une dame d'une soixantaine d'année, l'épouse du rescapé. Ils ont ensuite continué leurs recherches jusqu'à découvrir, vers 7h40, le corps d'une seconde victime : une jeune fille âgée d'une vingtaine d'année. Celle-ci, petite-fille du couple de Lambersartois, était venue passer ses vacances dans le pavillon de ses grands parents.

A l'heure où nous écrivont ces lignes (8h, ce mardi matin), les secours sont toujours sur place et continuent de travailler à la maîtrise du sinistre.

Une trentaine de sapeurs pompiers ont été mobilisés, en provenance des casernes de Lille Littré, Lille Bouvines, Lomme et Villeneuve d'Ascq. Deux camions avec échelles ont été déployées au cours de l'opération menées par les soldats du feu.

CHRISTELLE JEUDY

Moyens engagés (MàJ 10h10) :

FPT1 Lomme
FPT2 Lomme
EPA Lomme
EMOD 41 Lomme
EMOD 42 Lomme
FPT1 Lille-Littré
EPA Lille-Littré
VSAV1 Lille-Littré
FPT1 Haubourdin
FC Seclin
VLC Lille-Bouvines
VLI Villeneuve d'Ascq
EMOD 3 Villeneuve d'Ascq
EMOD 21
Chef GPT 2

Passage SLL du Colonel B., Chef de l'EMZ Nord.

Sacré flambard en tout cas ! smile_peur

@+ Sap'Lal

Passionné Inscrit le: 11 Jan 2010 Messages: 407

triste bilan,les DAAF auraient pu certainement prévenir du danger smile_pleure

sacré flopée d'officier SLL à voir smile_mal

EMOD41-42=chef de groupe?

L'EMOD 4 est Chef de Groupe c'est cela ! Le "41" et "42" correspond au n°1 et n°2 du CIS.

Et pour les officiers c'est pas excessif, l'EMOD 41 au départ, le 42 pour le relever, l'EMOD 3 car plus d'un groupe, l'EMOD 21 car deux DCD, le Chef GPT car intervention marquante et le Chef EMZ parce qu'il n'était pas loin.

A la TV on a aussi vu Chef CIS Lomme.

@+ Sap'Lal

Passionné Inscrit le: 11 Jan 2010 Messages: 407

jle connais l'EMOD3,un homme très sympa

Passionné Inscrit le: 11 Jan 2010 Messages: 407

http://nord-pas-de-calais-picardie.france3.fr/info/lille-metropole/incendie-meutrier-a-lambersart-62338286.html?onglet=videos

vidéo de FR3 Lille smile_hello

Intervention lourde... Le monsieur doit être perdu smile_transpire

6 Casernes quand même smile_woah

Allan

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Incendie de Lambersart : l'une des victimes avait créé le musée du Jouet ancien de Wambrechies

Le dramatique incendie survenu ce matin vers 5h30 à Lambersart avenue du Commandant-Driant a fait deux victimes, Annie Wallaere, âgée de 66 ans et sa petite-fille Sarah, âgée de 19 ans.

Seul rescapé du sinistre, Damien Wallaere a pu échapper aux flammes mais brûlé aux mains et intoxiqué par les épaisses fumées, il a été transporté au CHR de Lille où ses jours ne sont pas estimés en danger.

L'annonce de la disparition d'Annie Wallaere a suscité une vive émotion au musée de la poupée et du jouet ancien de Wambrechies implanté dans le château de Robersart : la Lambersartoise décédée dans l'incendie était en effet la vice-présidente du musée. Grande collectionneuse de poupées en porcelaine, elle avait participé à la création de l'association des Amis du jouet ancien il y a 20 ans, association qui avait ensuite débouché sur la création du musée. Un musée où le directeur, Franck Astruc, n'arrive toujours pas à réaliser la disparition d'une dame très discrète mais qui venait toujours régulièrement au musée de Wambrechies, "également en compagnie de sa petite-fille qui venait souvent la voir pendant les vacances", a témoigné Franck Astruc.

Source Nord Eclair

@+ Sap'Lal

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Deux femmes décèdent dans un incendie à Lambersart

mardi 06.04.2010, 15:44 - La Voix du Nord

Deux personnes sont décédées dans l'incendie d'une maison de l'avenue du Colonel-Driant de Lambersart, ce matin.
Les pompiers mobilisés sur cet incendie mortel qui s'est déclaré vers 5 h 30, ont quitté les lieux en milieu de journée.

Le feu a pris vers 5 h 30, pour une raison indéterminée, dans la bâtisse de deux étages. Le père de famille, un homme de 59 ans, a prévenu lui-même les secours, suivi par des voisins.
Arrivés sur place, les pompiers des casernes de Lomme, Littré et Villeneuve-d'Ascq repèrent rapidement un premier corps, dans l'habitation très embrasée, puis un autre, une fois le sinistre circonscrit, près de deux heures plus tard.

Les deux disparues sont la femme et la petite-fille du rescapé, ce dernier a été transporté aux urgences blessé aux mains et en état de choc. Ses jours ne sont pas en danger.
Au terme de deux heures de combat du feu et de quatre autres heures consacrées aux opérations de déblaiement et de sécurisaton de la maison, les sapeurs-pompiers du Nord confirment le terrible bilan humain de cet incendie : deux morts, une jeune femme de 20 ans et sa grand-mère, âgée d'une soixantaine d'années. L'autre occupant de la maison, le grand-père, est, lui, en soins à l'hôpital Salengro (CHR de Lille). Il souffre de brûlures aux mains.

Source La Voix du Nord

@+ Sap'Lal

Vidéo Grand Lille TV avec interview COS

Vidéo Grand Lille TV avec interview témoin

@+ Sap'Lal

Merci pour les vidéos smile_top

Allan

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Une grand-mère et sa petite-fille décèdent dans un incendie, hier, à Lambersart

Le feu a pris vers 5 h 30 et surpris les occupants dans leur sommeil. Les secours n'ont pu extraire de la maison la sexagénaire et la jeune fille d'une vingtaine d'années. Le grand-père, intoxiqué et brûlé, est le seul rescapé.

« On a entendu des cris, une cavalcade, et un voisin a sonné pour nous dire de partir. Quand on a vu le feu, c'était déjà bien pris.

» Il est 6 h 30, hier matin, dans l'avenue du Colonel-Driant de Lambersart. Ce couple suit la lutte des pompiers contre l'incendie qui ravage, depuis une heure, la maison de leurs voisins. À cet instant, ils ignorent que deux personnes sont à l'intérieur.
Matelas improvisés

5 h 30 ont sonné quand un riverain remarque le rougeoiement venant des chambres, au second étage du numéro 24. Dans cette artère résidentielle paisible, de nombreuses persiennes sont baissées, les occupants partis en congés. Les pompiers sont prévenus. Cependant le feu progresse. Très vite. À la fenêtre, des témoins distinguent une silhouette. Celle d'Annie Wallaere, qui habite là avec son mari Damien. Un voisin dispose en toute hâte des matelas sur les voitures, improvise une aire de réception. La sexagénaire ne sautera pas.

Des soldats du feu de cinq casernes, Lille-Littré, Lomme, Villeneuve-d'Ascq, Haubourdin et Lille-Malus sont dépêchés sur place. « Quand on est arrivés, ça s'était déjà embrasé », dit un pompier. Damien Wallaere est parvenu à s'extraire des flammes. Avant d'être transporté aux urgences, intoxiqué, choqué, les mains brûlées, le sexagénaire avertit les secours : sa petite-fille est aussi à l'intérieur.

Les sapeurs-pompiers ont repéré un corps. Mais impossible d'entrer dans la fournaise. En dépit des trois lances déployées, le sinistre a gagné le toit. À l'intérieur, plus de 2 000 poupées flambent. Annie Wallaere, « une passionnée », selon un riverain, avait cofondé il y a vingt ans, le musée du Jouet de Wambrechies.

À 7 h 30, alors que 25 hommes sont à pied d'oeuvre depuis deux heures, le toit s'effondre et l'incendie marque le pas. Toujours pas trace d'une seconde victime. Les voisins espèrent.

La vapeur d'eau a remplacé la fumée noire. Des lampes torches se risquent dans la bâtisse. Un pompier fait un signe à la fenêtre. L'incendie a fait une seconde victime. Sarah, la petite-fille des Lambersartois, a été surprise par le feu dans son lit. La Marseillaise d'une vingtaine d'années, souffrant d'un handicap, passait quelques jours de vacances chez ses grands-parents.

Le drame a suscité l'émotion à Lambersart, qui de mémoire d'élu, n'avait pas connu d'incendie meurtrier depuis de nombreuses années.

À midi, tandis que les pompiers quittaient les lieux, des habitants continuaient d'accuser le choc de la nouvelle. Une enquête a été ouverte pour déterminer les raisons du sinistre, mais la piste accidentelle est privilégiée - on évoque un possible incident électrique.

Les jours du grand-père ne sont pas en danger.

Source La Voix du Nord

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Deux morts dans un incendie hier : l'avenue du Colonel-Driant sous le choc

Rue parallèle à l'avenue du Mal-Leclerc, bordée de maisons de briques rouges et fleurie de cerisiers du Japon, l'avenue du Colonel-Driant est une rue « typique » de Lambersart. Elle a été le théâtre, hier matin, d'un dramatique incendie (lire page 7). Une jeune fille de 20 ans et sa grand-mère sont mortes. Annie Wallaere était l'une des cofondatrices du musée du jouet ancien de Wambrechies.

PAR BENOIT DESEURE

Fin de matinée, hier, avenue du Colonel-Driand. Le major Carlier, de la caserne de Lomme, et une dizaine de pompiers sont encore sur les lieux de l'incendie qui, vers 5 h 30, a fait deux morts et un blessé au n°24. La toiture a disparu. L'escalier qui mène aux combles aussi, carbonisé. C'est avec la grande échelle que les secours accèdent aux étages. L'objectif ? Procéder au déblaiement et vérifier que le feu ne puisse par reprendre.

Alors que des enquêteurs de la sûreté urbaine de Lille effectuent des relevés (ce sont eux qui devront déterminer les causes du sinistre), de nombreux voisins sont encore là, 5 heures après le drame. « Beaucoup de voisins sont choqués, souligne Christiane Krieger, conseillère municipale déléguée, qui habite non loin de là. Ils ont essayé de sortir la dame, notamment en jetant des matelas sur la voiture pour qu'elle puisse sauter. » La ville a dépêché sur place la police municipale, pour la classique sécurisation des lieux. Mais envisage aussi d'assister les voisins choqués.

C'est que l'incendie a été particulièrement violent. « Des flammes de 7 ou 8 mètres », raconte une voisine, réveillée parce que son téléviseur crépitait. « C'est vrai que quand on est arrivés, ça "roulait", comme on dit dans notre jargon », ajoute un pompier. Sarah, 20 ans, qui était venue de Marseille passer les vacances chez ses grands-parents, a été surprise dans son sommeil. Annie, elle, a tenté de s'échapper. En vain. « C'est un drame, souligne Franck Astruc, président du musée du jouet ancien de Wambrechies et ami des Wallaere. En 1991, on était un petit groupe avec mon ex-épouse Brigitte et les Wallaere à avoir créé l'association qui a abouti à l'ouverture du musée du jouet . » Annie en était encore la vice-présidente, en charge de la restauration des poupées. Ancienne antiquaire près de Cassel, cette sexagénaire possédait d'ailleurs près de 2 000 poupées. « C'est un drame », répète Franck Astruc, tandis que d'autres riverains arrivent, hébétés. Le mari d'Annie, Damien, est lui en soins au CHR, mains brûlées.

Source La Voix du Nord

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La grand-mère et sa petite-fille sont mortes dans l'incendie

Il était 5 h 30 hier matin quand un couple de sexagénaires et leur petite-fille âgée de 19 ans ont été surpris dans leur sommeil par un violent incendie. Bilan : deux morts et un blessé.

Ils ont d'abord entendu des cris puis du bruit. Les proches voisins de la maison de l'avenue du Commandant Driant où s'est déroulé hier matin le terrible incendie sont encore sous le choc. Ils racontent. « La dame était à l'étage, elle criait "Au feu". On lui a dit de sauter par la fenêtre et son mari a encore tenté de rentrer dans la maison. C'était horrible. » Il est alors 5 h 30 du matin dans cette avenue tranquille proche du bois de Boulogne. Très vite, les sapeurs-pompiers de Lomme, Lille-Littré, Lille-Bouvines et Villeneuve d'Ascq, soit 25 hommes, arrivent sur les lieux. Pour y découvrir le second étage de l'habitation totalement embrasé et « un feu généralisé », précise le colonel Forzano, présent sur les lieux.

Un homme blessé
Le propriétaire de la maison, Damien Wallaere, âgé d'une soixante d'années, a pu s'enfuir. Sous le choc, brûlé aux mains et intoxiqué par l'épaisse fumée, il a reçu les premiers soins du SMUR avant d'être transporté au CHR de Lille. Où ses jours ne sont pas estimés en danger. Très vite, les soldats du feu découvrent un premier corps calciné dans les chambres situées au deuxième étage : celui d'Annie Wallaere, 66 ans, l'épouse du blessé. Et alors que les flammes restent très violentes, les sapeurs-pompiers poursuivent leurs investigations, à la recherche d'une troisième personne : la petite-fille du couple, Sarah, âgée de 19 ans et venue passer quelques jours de vacances à Lambersart, manque en effet encore à l'appel. Le temps que les soldats du feu viennent à bout du sinistre, chacun espère encore un miracle : mais un peu avant 8 h, les secours découvrent un deuxième corps, celui de la jeune fille, également au deuxième étage de l'habitation. Reste maintenant à savoir comment le feu, qui aurait pris au niveau de la buanderie, a pu se déclarer et surtout se propager aussi rapidement dans la maison.
L'hypothèse accidentelle, et notamment d'un court-circuit électrique, a été avancée hier matin. Mais seules l'audition de l'unique rescapé et l'enquête confiée à la sûreté urbaine de Lille permettront d'en savoir plus.

Source Nord Eclair

Le grenier de l'habitation était rempli de poupées en celluloïd, pour ceux qui ont un exemplaire du RIM (page 1224 de la 4ème édition), je les invite à lire le chapitre correspondant, ça donne une idée du potentiel calorifique de l'habitation... smile_peur

@+ Sap'Lal